Le commerce au centre-ville.3 et la droguerie Schneitter à Neuchâtel

Rangements et réparations. Je le dis dans un article où je parle de rangements, ces rangements qu’on fait chez soi et qui impliquent des réparations, je dis que les réparations qu’on fait ont une résonance avec notre vie. De façon générale, j’aime réparer les choses qui se dégradent parce que le temps passe ou parce que c’est moi-même qui malheureusement le fais, et quand je répare, j’aime trouver des solutions pour que mes choses aient une plus jolie apparence.

Ma chronique sur le commerce au centre-ville. Je ne pensais pas tenir une chronique sur le sujet. J’ai cru qu’après le premier article, je n’aurais plus rien à dire. Mais voilà, le paysage commercial continue à changer et cette fois-ci, c’est M. Schneitter qui est parti au ciel le 6 mars de cette année et avec lui plein d’astuces, plein de conseils, plein de savoir.

La première droguerie Schneitter. Elle avait ses quartiers à la rue des Épancheurs, en face de chez l’ancien opticien Luther, un autre commerçant que j’ai bien aimé. C’est le grand-père de M. Schneitter qui l’a fondée et son fils qui l’a reprise. Le bâtiment n’est plus reconnaissable aujourd’hui. Dans les années 1970, la banque UBS désirant s’agrandir, le père de M. Schneitter est allé s’installer dans le bâtiment que l’on connaît aujourd’hui. Cela fait qu’actuellement nous en sommes à la quatrième génération de droguistes Schneitter. Voici leur photo ainsi que leur enseigne :

C’est formidable d’avoir une lignée de passionnés de droguerie dans une famille. L’héritière, si l’on peut dire, Laurence, est aussi une personne qui aime son métier et qui ne demande qu’à rendre service.

M. Schneitter. M. Schneitter était un homme curieux, il avait un humour que je n’ai bien souvent pas compris, mais j’ai apprécié son aide, toujours désintéressée, pour que je puisse faire mes réparations au mieux. C’est ainsi que ma maison est pleine de ses conseils, toujours pertinents ; il pensait à tout. Il était un homme pratique.

Exemples. J’avais une barre sur laquelle je suspends des habits de l’Opéra de Bucarest. C’est une façon de les exposer. J’ai ensuite ajouté d’autres costumes faits par moi et la barre, accrochée par mes soins, n’a pas tenu. J’ai refait un trou dans le mur, encore un autre, mais le mur est très mince et il n’y avait rien à faire. Je suis allée chez M. Schneitter, lui ai exposé la situation et dit que j’avais le cadre d’une porte où je pouvais planter des clous. Je ne sais plus comment on s’est compris, mais je me suis retrouvée avec une solution des plus élégantes !

De près, on voit une ficelle accrochée à un crochet discret. Il y en a une à chaque bout, mais le regard des visiteurs n’est pas aussi inquisiteur et on ne les remarque pas vraiment. Ces deux ficelles n’étaient pas suffisantes. C’est ici que M. Schneitter m’a été d’une précieuse aide : il m’a suggéré d’utiliser du fil de canne à pêche. J’en ai mis à trois endroits. C’est quasiment invisible et très efficace.

Le rôle d’hier du commerçant en ville à celui d’aujourd’hui. Autrefois, le commerce du centre-ville était aux mains de commerçants locaux, de personnes qui étaient impliquées dans la vie de la ville, et il y avait bien des façons de participer : comités de commerçants, associations, partis politiques. Ces personnages étaient souvent interrogés par les journaux sur des sujets qui touchaient à la ville et leur avis comptait même s’ils ne faisaient pas partie du Conseil général. C’étaient des poids lourds. Avec le temps, ils disparaissent. Les commerces locaux sont remplacés par des enseignes internationales, vidées du substrat local.

M. Schneitter faisait partie de ces poids lourds. Il disait ce qu’il avait à dire, sans fioritures et il aimait son métier. Mais, si ces commerçants aimaient faire le commerce, ils adoptaient, pour la plupart, la philosophie de M. Vautravers, autre commerçant dont je parle ici à savoir « je ne suis pas là uniquement pour vendre ; je vous rends service et vous me rendez service ». C’est cela qui me fait faire des efforts et acheter chez eux plutôt que dans les magasins qui vendent meilleur marché et pas toujours avec les conseils adéquats. Le commerce de détail et local a un rôle et il appartient aux acteurs de la ville de jouer le leur. Les commerçants locaux connaissent leurs clients, leurs habitudes, savent quoi leur proposer et ne se basent pas uniquement sur des chiffres issus de logiciels faits par des technocrates.

Du plaisir avec les commerçants. J’aime aussi les commerçants qui ont leurs racines en ville. C’est peut-être moi qui ai besoin de ces racines, mais ces commerçants connaissent leur ville, ses atouts, son histoire, ses affaires, et on peut passer ensemble un moment à discuter de choses et d’autres comme si on était en famille. C’est comme cela que je me suis procuré la photo de famille des Schneitter. Laurence, la fille et successeur de M. Schneitter m’a dit que je pouvais faire une capture d’écran sur leur compte de Facebook pour mon article.

Politiques commerciales. Je me rappelle qu’il y avait une sorte de chocolats que j’achetais habituellement dans un kiosque. Un jour, ne voyant pas « mon » chocolat, je demande à la vendeuse ce qu’il en est et elle m’a répondu que « Zurich », soit la maison mère, l’avait supprimé de l’assortiment car il ne se vendait pas en Suisse allemande ! Les agences de voyage CFF (voir lien) ont aussi fermé parce que certaines agences en Suisse allemande ne faisaient pas le chiffre d’affaires, alors que, renseignements pris, Neuchâtel, Yverdon, Lausanne et Genève s’en sortaient très bien ! C’est un phénomène des plus intéressants, car souvent on entend dire qu’il faut suivre les habitudes des consommateurs, c’est un peu l’histoire de l’œuf et de la poule. Mais, la technologie doit être au service de l’homme et pas le contraire !

Pour en revenir au rôle des clients locaux. Tous les bons commerçants que j’ai approchés, et pas seulement à Neuchâtel, m’ont dit que depuis bien longtemps des clients vont chez eux pour se renseigner et ensuite vont dans les grands magasins pour acheter moins cher. L’ancienne mercière, Ingrid Gueniat, m’a aussi dit la même chose, les employés de l’ancienne agence de voyages CFF aussi : des personnes ayant des moyens, comme on dit, allaient se renseigner sur les endroits où il y avait des offres spéciales et ensuite allaient acheter les billets et réserver les hôtels sur Internet . Je crois qu’il n’y a pas besoin de faire des commentaires.

Je ne vais pas vous ennuyer avec tout ce que j’ai réparé grâce aux conseils de M. Schneitter, mais il m’a fait des mélanges de peinture pour la table sur laquelle je mange, les chevalets et la planche que j’utilise pour mes maquillages fantaisie et des chaises. Il m’a dit comment utiliser l’alcool ISO 99 % pour nettoyer mes CD, mes vitres et toute sorte de choses, c’est aussi chez lui que je me suis fournie en colophane pour mes chaussons de danse, c’est dire si M. Schneitter est présent à travers tout cela. Puis, une chose en entraînant une autre, les idées de M. Schneitter, qui se sont bien implantées dans mon cerveau, pour ainsi dire, ont permis que d’autres idées qui passaient par là s’y accrochent pour trouver encore d’autres solutions pour d’autres problèmes.

Mon goût pour les réparations et modifications. On ne sait pas toujours d’où les idées viennent, mais mon père m’a fait ma première coiffeuse, il construisait des choses à la maison, mon grand-père maternel aussi. Plus tard, lorsque j’étais à l’école de Chorégraphie de Bucarest, j’aidais un professeur en pharmacie à mettre des échantillons dans des enveloppes et on est arrivé au bout de ces dernières. Je me suis dit que j’allais pouvoir rentrer chez moi… Non, le professeur a dit que nous allions faire nous-mêmes des enveloppes ! Je n’en avais jamais fait et cela a créé une sorte de moule dans mon cerveau. Cela a été l’une de mes grandes leçons de vie : trouver des solutions quand apparemment il n’y en a pas. Et il en va ainsi dans tous les domaines de ma vie.

Un dernier regret. Il est vrai que M. Schneitter marchait avec difficulté et c’est une symbolique que je vois souvent indiquant que le chemin sur Terre est près de finir. Mais, désirant le stimuler à ma façon, je lui ai proposé, quelques mois avant son départ, qu’on organise des cours sur la façon d’utiliser tel ou tel produit, sur les astuces auxquelles on pouvait penser. On aurait pu faire des cours pour les enfants et pour les adultes. J’avais pensé en faire en tout cas un par saison et on aurait vu pour la suite. Il avait été enthousiasmé. J’avais proposé de donner les cours soit dans mon studio de danse, soit dans son laboratoire, soit encore les filmer et les mettre en ligne. Il avait pensé à deux ou trois sujets qu’il a mis sur le papier mais c’est parti en l’air. Je le regrette vivement parce que cela lui aurait permis de transmettre son savoir et j’aurais eu l’occasion d’apprendre un tas de choses !

Merci. On ne peut pas finir sur une note de déception ! Le plus important est que j’aie appris des tas de choses, que je sache réparer bien des affaires et que j’aie eu plein de gens qui m’ont inspirée. Alors, merci à eux tous !

C’est bien connu, la vie continue. En cette période si curieuse de confinement, je fais les courses pour un couple devenu ami. Le monsieur a été le comptable de l’entreprise horlogère neuchâteloise Froidevaux. Il m’a chargée de lui trouver une ampoule de remplacement pour sa lampe de poche. Je me dis que c’est tout simple, j’en ai déjà acheté. Je passe à la Migros où une aimable vendeuse m’informe que cela fait trois ans que l’article a été supprimé. Elle me suggère d’aller « chez Schneitter ». Devant faire quelque chose chez Interdiscount, je vais d’abord chez eux. Je pose quand même la question et la réponse a été identique ! Je vais donc « chez Schneitter ». Le jeune homme qui s’occupe de moi me dit qu’il a l’ampoule, mais que non, cela ne va pas marcher, car il manque une petite pièce qui cloisonne l’ampoule. Je téléphone au propriétaire de la lampe mais il n’a plus l’ampoule et me dit d’acheter une autre lampe.

Je regarde la lampe à laquelle le monsieur a mis de nouvelles piles et demande au jeune homme s’il n’a pas une combine et il me dit que justement il était en train d’y réfléchir. Il va chercher une ampoule, entoure le culot d’un élastique, l’insère dans la lampe, pousse l’interrupteur et « la lumière fut » une nouvelle fois ! Quel soulagement. Je suis bien « chez Schneitter », celui qui a les solutions et combines pour un tas de choses. Comme je le disais « la vie continue » !

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Lecture et mathématique avec un enfant de 9 ans

Les voies du destin sont insondables, pourrais-je dire en guise de préambule en m’inspirant d’une célèbre phrase. La voie en ce cas précis est le droguiste de ma ville, M. Schneitter. M. Schneitter avec sa droguerie joue un rôle important à Neuchâtel. Il m’a raconté à la fin de l’année passée que sa droguerie, celle de son père et grand-père avait vu le jour dans un bâtiment aujourd’hui intégré à celui de l’UBS. M. Schneitter est aussi présent dans bien des réparations faites chez moi. Je le dis ici. C’est par lui que j’ai connu l’une de ses collaboratrices et son fils de neuf ans. Ce dernier est un garçon éveillé mais qui a du fil à retordre avec la lecture. On le sait, lorsqu’une difficulté apparaît dans notre vie, il faut y faire face et la vaincre car la mémoire que nous avons peut faire en sorte qu’à la prochaine difficulté, on renonce avant de savoir si on peut résoudre ou non l’affaire. Le cas du petit garçon m’intéresse et je tente l’aventure.

La reine Didon. L’un des moyens que j’ai eus pour aider ce garçonnet a été de lui résumer des petites histoires liées à la mathématique, domaine où il a plus de facilités. J’ai commencé par l’histoire d’une reine, Didon, qui avec une peau de boeuf fonda la ville de Carthage, célèbre ville de l’antiquité. En effet, la reine avait dû fuir son royaume en bateau et avait échoué sur les côtes de l’actuelle Tunisie. Elle avait demandé au roi local une terre pour fonder son royaume. Pour se moquer d’elle, il lui a donné une peau de boeuf et lui a dit qu’elle pourrait avoir autant de terres que la peau donnée pouvait en contenir.

La reine Didon était une personne intelligente. Elle a découpé la peau en de très fines lanières et a ainsi fait le pourtour d’une terre passablement grande et qui au fil des ans est devenue la célèbre ville de Carthage.

Le jeune garçon a été enchanté de lire l’histoire et d’apprendre quelque chose de si rusé. Cela m’a encouragée à continuer.

Le signe égal en mathématique. J’ai continué sur la lancée des histoires courtes. En cherchant dans mes livres, je suis tombée sur l’origine du signe égal en mathématique. C’était parfait, car ce signe, il le connaissait, il était en terrain conquis – si l’on peut dire – et en même temps, il allait s’enrichir de bien des façons. Comme est arrivée la période du confinement, on a continué par courriel et par téléphone.

Je n’ai pas trouvé une jolie façon de mettre nos échanges par courriel. Le dessin qui me représente a été fait par mon élève adolescente de 17 ans qui aime dessiner et pour le petit garçon, j’ai eu recours à un dessin arrangé par mon ami, André Oppel, il y a fort longtemps…

C’est un Anglais, plus précisément un Gallois (pays de Galles qui fait partie du Royaume – Uni) qui l’a inventé. Il était fatigué de toujours écrire « est égal à » dans ses calculs. Il a appelé ces deux lignes « jumelles » parce que justement ces deux lignes étaient identiques. Voici son explication : « Si j’ai choisi une paire de parallèles, c’est parce qu’elles sont deux lignes jumelles, et que rien n’est plus pareil que deux jumeaux ». On peut donc dire qu’on a deux jumeaux de chaque côté du signe. Le nom du mathématicien ? Son prénom et son nom de famille commencent par « R » : Robert Recorde. C’était en 1557. Ce devait être un monsieur intéressant car il était aussi médecin.

Dessin d’André Oppel

Je téléphone au petit garçon pour savoir ce qu’il avait pensé au moment où il a su que le signe égal était âgé de 450 ans. Il m’a dit que cela lui avait fait un choc, je suppose qu’il voulait dire une très grande surprise. Sa maman m’a dit qu’il avait ouvert grand les yeux.

On continue à parler du signe égal et je lui dis que j’aimerais bien savoir comment lui était venue l’idée, à ce monsieur, des deux lignes égales, jumelles : au petit déjeuner ? à midi ? et le petit garçon dit :

Je suis sidérée ! Je lui dis qu’il a absolument raison, la nuit nous avons plein de pensées qui nous rendent visite. Les enfants savent tellement plus de choses que les adultes !

La plateforme a effacé une partie du discours. Je n’arrive pas à la retrouver, mais on continue avec un courriel que le jeune garçon m’a envoyé ensuite.

Me voilà bonne pour aller chercher des informations intéressantes sur les cowboys ! La première chose qui m’est venue à l’esprit a été de lui expliquer que c’était un mot anglais qui joint cow à boy, ce qui correspond au mot vacher ou garçon de ferme. C’est bien moins glorieux en français, car les cowboys ont un rôle de légende dans la conquête de l’Ouest américain ; on voit si bien dans les films.

Pour le moment, je continue avec la mathématique, car pour en faire, il faut pouvoir lire, bien lire et bien écrire. La mathématique a des nombres avec lesquels on fait des calculs corrects ou non et une langue a ses propres « nombres », les lettres, qui forment des mots corrects ou non. D’ailleurs, chez les Grecs anciens, les lettres étaient des nombres. C’est fabuleux. Les choses dans ma vie s’enchaînent les unes aux autres et je retombe sur des notions que le physicien Garnier Malet a rappelées dans ses cours à ce sujet : dans la Grèce ancienne, les prénoms avaient un sens. Maintenant que je pense à mon petit élève, on peut s’amuser à savoir quel nombre a notre prénom.

Ce qui est intéressant ce n’est pas tant la somme obtenue, que le fait de savoir que les lettres étaient des nombres. Mais, peut-être que les nombres sont devenus des lettres étant donné que les peuples ont commencé à compter avant d’écrire.

Une fois de plus, mes mondes se rejoignent. Je constate que peu importe les générations, les thèmes qui forment mon paysage viennent de partout et en toile de fond, il y a toujours la pensée et son rôle.

Je lui demande s’il connaît la différence entre les chiffres et les nombres. Il répond que les nombres sont deux et les chiffres un seul, 1, 2, jusqu’à 9. Je lui explique que les chiffres sont comme les lettres d’une langue, avec les lettres on compose des mots. Il n’attend pas la fin de mon explication et me récite l’alphabet. Oui, dis-je. Nous, nous avons les chiffres de 0 à 9, comme si c’étaient des lettres et avec eux on compose les nombres. Alors, le nombre 10 est composé de ? Du 1 et du 0, répond-il aussitôt. Il faut comprendre que les chiffres jusqu’à 9 sont les chiffres, mais aussi des nombres. Je ne sais plus quelle explication je lui donne, mais je reprends l’histoire des Grecs avec les lettres qui servent à compter et tout de suite il dit :

Qu’est-ce qu’il est vif d’esprit ! J’avais pensé que cela prendrait plus de temps, mais non. Il a saisi tout de suite. Je le félicite à nouveau. Je lui dis qu’une chose c’est apprendre rapidement et une autre c’est comprendre et qu’il a les deux capacités.
C’est vrai, quand j’enseigne quelque chose, je cherche la porte la plus ouverte chez l’autre afin de faire passer un message et cela m’amène à faire des découvertes et des liens.

Je félicite le jeune garçon et lui souhaite une belle nuit avec plein de belles pensées. Il répond : À toi aussi ! C’est magnifique.

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Fête de la danse 2020 et confinement ou « faisons contre mauvaise fortune bon coeur » !

Photo de Knut Vibé

C’est le moment d’appliquer ce fameux proverbe. Les difficultés arrivent ? On reste debout et on fait face. Aussi, je propose des cours, tout comme certains de mes collègues, à ceux qui le désirent. Une différence toutefois, je les propose dans ma salle, à raison de quatre personnes par cours, pour respecter les consignes en vigueur. Ma salle ne capte pas Internet et mes cours sont personnalisés. Alors, si cela vous tente, voici mes propositions pour le samedi 16 mai (le dimanche 17 reste ouvert) :

  • COURS PROPOSÉS SAMEDI 16 MAIQUATRE PERSONNES PAR LEÇON :
  • Danse classique adaptée ;
  • Atelier de mouvement pour le corps et l’esprit ;
  • La valse comme chemin de vie.
  • Comment s’inscrire :
  • Par courriel : zully.salasy@bluewin.ch ;
  • Par téléphone : 076 / 433 43 27.
  • Danse classique adaptée :
  • Horaire : 10 h à 11 h
  • Âge : adolescents et adultes ;
  • Tenue : chaussons de danse ou chaussettes ;
  • Recommandation : être habillé chaudement, mon local est plutôt frais.

  • Atelier de mouvement pour le corps et l’esprit :
  • Horaire : 12 h – 13 h et 16 h 17 h ;
  • Âge : adultes ;
  • Tenue : tenue confortable, de préférence pantalons, chaussettes ;
  • Recommandation : être habillé chaudement, mon local est plutôt frais.

  • La valse comme chemin de vie :
  • Horaire : 14 h – 15 h et 18 h – 19 h ;
  • Âge : adultes ;
  • Tenue : tenue confortable, de préférence pantalons, chaussettes ;
  • Recommandation : être habillé chaudement, mon local est plutôt frais.
Plan d’André Oppel

Pour accéder à ma salle, voici un plan :

Le travail en petit comité permet un contact plus personnel et cela me convient très bien.