Tout ce que je rapporte, je l’ai appris de la part d’une ostéopathe. Je la remercie parce que j’ai pu aider plusieurs personnes.
Nous vivons dans une société qui attache beaucoup d’importance à l’extérieur et les dentistes ont pensé à mettre des bagues et autres appareils pour aligner les dents. Ce travail se fait, en général, pendant la croissance.
C’est ainsi que le dentiste scolaire a dit à l’une de mes élèves de douze ans de porter un appareil afin d’aligner les dents et de donner de la place à celles qui n’arrivaient pas à pousser. Elle m’a raconté l’affaire et dit qu’elle n’en avait pas envie, qu’il faisait mal. Elle avait raison, un appareil force les dents, les dents sont collées au crâne, le crâne abrite le cerveau et tant les oreilles que les yeux, le nez, la parole, la personnalité de la personne sont affectés. D’ailleurs, le document que les parents signent mentionne que ledit appareil peut affecter la vue, l’odorat, l’ouïe, le parler, le goût. Mais, on ne fait pas attention à cela, le papier étant officiel, les parents signent sans tout lire.
En principe, le traitement dure quelques années et lorsque la personne atteint l’âge adulte, 18 ans, en général, on lui enlève les bagues. Afin de s’assurer que les dents ne reprendront plus leur place initiale, le dentiste met des cercles métalliques derrière les dents pour le restant de la vie du patient afin de les fixer. En effet, les dentistes avaient remarqué, quelques années après la mise en route de la pratique, que chez la plupart des adolescents auxquels on enlevait bagues et gouttières, les dents reprenaient leur place. Pas chez tous les patients et c’est cela qui est intéressant. Cela a à voir avec la façon dont la personne vit sa vie. Nous avons tous une façon ou une autre de réagir aux événements et même de les créer. Cela va de pair avec le corps.
J’ai expliqué à mon élève que le corps fait un tout et que toutes les parties sont donc liées. Les dents poussent en dernier dans le corps et ce en fonction de la disposition des tissus et des os. Tant que le reste du corps n’a pas suivi… les dents reprennent leur place.
L’ostéopathe que j’avais consultée a travaillé une séance avec mon élève et nous a montré le genre d’exercices à faire quotidiennement.
Mon élève avait douze ans à l’époque et si elle n’avait pas envie de porter un appareil, l’assiduité des exercices journaliers ne lui était pas… familière. Aussi, au bout d’un moment, tous les soirs, pendant près d’une année, j’ai téléphoné pour rappeler la chose et mon élève, tout comme ses parents, a été d’accord. Ce point est extrêmement important.
De plus, elle venait au cours de danse et nous faisions d’autres exercices qui aidaient le corps.
Un peu plus d’une année après. Pour la grande joie de mon élève, le dentiste a noté des changements dans la bouche, dit que ses dents s’étaient bien alignées en haut et qu’un appareil n’était plus nécessaire. Il restait encore un travail à faire pour les dents d’en bas, mais le plus gros était passé. Le dentiste ne s’est pas posé de questions et n’a pas posé de questions à mon élève non plus. Nous n’avons pas insisté. Les parents ont économisé plus de 10’000.- francs. Mais, le plus important est que le crâne n’a pas été forcé et qu’aucun des effets mentionnés plus haut n’a eu lieu. C’est précieux !
Voici quelques photos :
L’ostéopathe consultée et les ostéopathes actuels. Mon ostéopathe considérait le corps comme un tout, une unité et c’est pour cela qu’elle a obtenu le résultat que vous voyez. Mon ostéopathe a quitté le pays et j’ai discuté avec des dentistes. Certains travaillent avec des ostéopathes qui sont formés pour accompagner le travail des dentistes ; leur rôle est de faire diminuer les douleurs sur le crâne. C’est bien différent du travail de l’ostéopathe que je connaissais. Mais, comme tout évolue très vite, je vais vérifier auprès d’une institution qui forme des ostéopathes.
Photos d’un crâne :
Le crâne transformé. On ne peut être catégorique parce que parfois les « accidents de la vie » nous amènent de belles choses. Mais, dans le cas présent, le crâne transformé ne permet plus à l’idée jaune qui est en l’air d’entrer dans le cerveau, elle est trop longue. De même avec la verte. Quant à la violette, elle ne sait que faire parque aucune autre ne lui ressemble. Peut-être aussi qu’elles sont en train de s’en aller… La vie n’est pas une expérience où l’on peut la reprendre au point zéro et on doit se garder d’être catégorique, mais le fait de savoir que le corps est une unité et que les éléments d’ici sont en liaison avec ceux de là-bas… laisse à réfléchir.
Les dents et le français. Je saisis toute occasion pour parler de l’une de mes passions et activités : la langue française et voilà que cet article m’offre une occasion de le faire. Il s’agit des mots denture et dentition ; la plupart des gens parlent du second mot et ignorent le premier. La dentition est la parution, la poussée des dents que ce soit celles de lait ou les définitives. Lorsqu’on parle de l’ensemble des dents d’une personne ou d’un animal, on devrait parler de denture. Une personne a donc une belle denture et pas une belle dentition. Je suis tombée l’autre jour sur la plateforme de Sophie Viguier, correctrice, qui a rédigé un joli billet sur le sujet ; c’est tellement bien rédigé, que je lui ai demandé si je pouvais le citer. Elle vient de me donner son accord.
Liens vers :
- Les yeux, la vue, comment l’améliorer, l’entretenir ;
- Jacques Collin – rencontre particulière.19 – J. Collin.2 – J. Collin.3 – J. Collin.4 ;
- L’argile (Jade Allègre) ;
- Le clou de girofle ;
- Le kéfir de fruits ;
- Jean-Pierre Garnier Malet – Le dédoublement des temps.
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